Un chaos matériel et humain nous évoque la vie : celle qui subsiste, celle qui naît du néant, de la destruction.
Au milieu d’un mouvement collectif très organisé ou l'on construit, on déconstruit, on reconstruit, dans lequel on peut parfois être ou se sentir piégé, comment se détacher de la meute et dévoiler son identité ? Comment s’attacher à des presque rien, à de l’ordinaire ?